Pour Filet Bleu, les défis ont été nombreux dès le début de la crise sanitaire : mettre en place les mesures pour protéger les collaborateurs, faire face à une hausse des ventes en magasins de 20% tout en gérant un taux d’absentéisme un peu plus élevé et le passage en télétravail d’une vingtaine de personnes.
Un vrai casse-tête, mais l’usine a réussi à maintenir son activité tout en conservant l’offre la plus large possible. Les grandes séries ont été privilégiées, et seule une dizaine de références sur les 300 disponibles ont vu leur fabrication réduite.
Pour répondre à la demande, les gammes ont été retravaillées pour maximiser les volumes qu’on peut produire. En d’autres termes, un même biscuit jusque-là produit sous différents conditionnements ne l’est plus que sur un seul. Une manière, pour l’entreprise, d’être en capacité de produire toutes les familles de biscuits.
C’est le fait de faire partie d’un véritable écosystème qui a permis à l’usine de gagner en réactivité. La crise a révélé un fort engagement de tous et une belle solidarité dans une période compliquée, depuis les agriculteurs jusqu’aux magasins en passant par les transporteurs, approvisionnés en sandwich et en biscuits !
La presse profesionnelle (LSA, l’Usine Nouvelle, DNA) mais aussi grand public (Ouest-France) s’est faite l’écho de cette mobilisation grâce à une « ouverture virtuelle » de l’usine en avril. L’occasion de valoriser l’engagement des collaborateurs, fiers de participer à l’effort de production.
